Les amalgames dentaires au mercure sont interdits en janvier 2025
En 2017, Sophie Benarrosh publiait son livre, préfacé par le Pr Christian Perronne, avec le témoignage de son parcours avec la maladie de Lyme chronique et sa difficulté à trouver pourquoi et comment les traitements étaient ingérables.
C’est la littérature scientifique, internationale, qui lui a permis d’identifier les métaux comme étant la source du blocage de l’efficacité des traitements.
Comme l’explique le Dr Richard Horowitz dans l’article de lanutrition.fr, un empoisonnement aux métaux lourds comme le mercure imite les symptômes d’une maladie de Lyme et co-infections et contribue à la résistance des symptômes aux traitements. “Certains patients sont plus sensibles que d’autres à ces métaux qui participent à la fatigue, au dysfonctionnement immunitaire, aux douleurs musculaires, articulaires et nerveuses, aux problèmes de mémoires et aux troubles psychiatriques.” Des patients qui ne répondent pas aux antibiotiques s’améliorent parfois lorsque l’on retire ces métaux lourds et ces toxines (polychlorobiphényles (PCB), les dioxines, les plastiques, les solvants organiques volatils (SOV)) de leur organisme.
C’est donc une très bonne nouvelle que les amalgames au mercure soient interdis au 1er janvier 2025.
Maladie de Lyme, empoisonnement aux métaux lourds : non ce n’est pas dans ma tête de Sophie Benarrosh aux éditions Leduc.s Editions